mardi 24 septembre 2013

Ainsi va la vie

Avec mon acolyte Henri Gravier, je viens de faire une nouvelle version de "Ainsi va la vie".
Mon camarade Joël Rocher m'a fait des guitares qui lui donnent un tout autre ton. J'adore!
Elle garde toute la fraîcheur qu'elle m'avait inspirée.
Bien à vous...


lundi 23 septembre 2013

Tous nos si

Une chanson peut changer le cours d'une vie. 
Aucune autre vie ne changera son histoire. Elle fait partie de la mienne autant que celle pour laquelle elle existe...


Marylou

A la gloire de toutes les femmes, ou presque! 
Et surtout à celles qui savent faire des efforts pour nous plaire car pour cela, il ne suffit pas toujours d'être belle.



Elodie

Quel homme n'a pas un jour croisé une femme en pensant laisser partir plus qu'une rencontre?
Quel homme n'a pas eu un jour le brûlant regret en n'avouant pas ses pensées à celle qui lui a mis le feu?


jeudi 13 juin 2013

Les SMS et les mots

J'ai eu l'idée d'écrire cette chanson sur un coup de tête un peu colérique concernant les messages un peu trop abrégés que nous envoyons sur nos téléphones portables. 
La première fois, lorsque je me suis mis sur la vague des SMS, je ne décodais pas certains que l'on m'envoyait.

Depuis, ce phénomène m'inquiète. Bon nombre de personnes et surtout les "jeunes" y ont tellement recours que cette communication déteint sur les autres moyens de communication et il n'est pas étonnant de voir certains écrire dans la vie courante en ayant recours à cette "phonétique" écriture un peu abrutissante qui écorche et met en péril la plus belle langue au monde.

Sans autre raison que pour ne pas tomber dans ce piège d'une "déculture" annoncée, je continue à rédiger mes SMS comme j'écris et je parle. Je n'ai pas été féru de Français à l'école bien que n'en n'ayant pas été allergique. Néanmoins, j'en suis tombé amoureux et la découvrant chaque jour un peu plus, je m'y attache corps et âme à la servir et la faire aimer autour de moi.
Elle permet de tellement bien exprimer des sentiments parfois subtiles et devient tellement magnifique lorsqu'on lui attache rimes et embellissements poétiques.

Je doute fort qu'une autre langue à travers le monde soit aussi riche que celle-ci. D'accord, il faut vivre avec son temps mais les nouvelles fleurs aussi belles soient-elles avec ces mélanges de tonalités et couleurs n'en reste que magnifiques parce qu'elles ont puisé leur inspiration chromatique dans leurs racines...


http://www.youtube.com/watch?v=XprFcNZtLKU



A vivre sans toi


De tous ceux qui nous manquent, une mère est sans doute la plus lourde absence, qu'on l'ait connue ou pas... 
Que l'amour ait fait son oeuvre ou pas de son vivant, immanquablement le manque s'installe, car l'absence nous ramène à l'essentiel et à l'importance des choses, et des gens...
Pascal Dorient.
Dernière composition musicale en collaboration avec mon camarade Henri Gravier.

http://www.youtube.com/watch?v=fxEOZIEVHRE



samedi 4 mai 2013

Je me souviens de cette fin du mois d'Avril 1987. Venant de ma Bretagne, tout juste arrivé à Paris comme beaucoup ont pu faire avec une valise pleine de rêves.
Je m'en souviendrai toujours car quelques jours après avoir foulé les quais de la gare Montparnasse, une nouvelle terrible est venue faire la une des journaux; la disparition de Dalida.

J'aimais beaucoup cet artiste, autant que la femme car la route d'un artiste est un chemin jonché de fleurs, bonheurs vite envolés, et de pierres qui portent le poids de leurs douleurs.

Elle aura enrichi sa route de sa passion et de sa solitude, à son détriment, comme sait le faire ce genre d'artiste, sans se mesurer ni s'économiser.

C'est dans un cabaret de Montmartre, place du Tertre, à deux pas de sa maison rue d'Orchamps, qu'est venu me voir sur la recommandation d'un ami, Pascal Sevran.

A l'époque, j'avais un tour d'humoriste imitateur. Sevran a de suite senti en moi cette passion pour la chanson. Il m'a programmé 15 jours plus tard dans ses émissions, en pleine période de fêtes de fin d'année pour interpréter des titres du répertoire classique entouré d'une revue digne des plus grands cabarets Parisiens.
Ce pari fou et démesuré au regard de mon expérience m'avait ébloui et je fis tout pour en être à la hauteur, même si aujourd'hui, je revois ces enregistrements avec un certain grincement de dents.

La première chanson que j'ai écrite à cette époque, nous sommes en 1992, ou pas loin, fut "Yolanda". Les mots me sont venus sans que je m'en rende compte, chaque fois que j'arrivais sur la place du tertre. Plusieurs années de cabarets dans ce fief Montmartrois m'ont imbibé d'un esprit magique et enivrant.
L'âme de Dalida y contribuait grandement.

Combien de fois je me suis rendu devant cette pierre magnifique, dernière demeure de mon idole dans le cimetière de Montmartre et la rue d'Orchamps? Je ne les compte plus.
J’ai ressenti, vécu et répété chaque mot de cette chanson avant de l’écrire. Biographie d'une période de ma vie et de l’admiration que je lui porte éternellement, rendant hommage à cette icône qui reste encore présente dans nos esprits et si vous saviez combien encore, dans les recoins de la place du Tertre.
J'ai eu le privilège de faire entendre la maquette de cette chanson à Pascal Sevran à la sortie de mon cabaret, dans son appartement rue Gabriel. Appartement qui avait précédemment appartenu à Picasso et que Dalida lui avait trouvé et obligé d’acquérir afin qu'il soit proche d'elle.

Quel bonheur de fouler une partie de l'intimité de Dali. De plus, cette maquette avait beaucoup plu à Pascal et il ne se privait pas à dire ce qu'il pensait des choses qui lui déplaisaient.

La version que j’ai interprétée dans « La chance aux chansons » avait été trop modifiée par un arrangement injustifié. Sevran me l’avait fait remarquer. Il préférait la première version.
C’est cette version d’origine que je vous livre. Certainement plus fidèle à l’esprit qui m’avait motivé.

Orlando, l’aura également entendue. On m’a dit qu’il l’a aimée, sans doute pas autant que moi...

http://www.youtube.com/watch?v=-gnSHlAqfPQ

dimanche 14 avril 2013

Vivre comme mes parents


Pour ne rien cacher, j'ai toujours voté non à cette Europe que l'on nous a imposée.
Ma philosophie personnelle sur les conditions humaines, l'intérêt et la cause des guerres au travers de l'humanité qui m'ont toujours intéressé car la connaissance et l’analyse du passé est la meilleure solution pour anticiper et contrôler l'avenir, les conflits des cultures et le déplacement de celles-ci (colonisations et immigrations), tout ceci m'a amené à croire que cette politique actuelle de l’Europe des nations nous mène vers de bien tristes évènements destructeurs.

A travers ma modeste analyse, j'avais déjà compris que derrière ces valeurs faussement pacifiques, on nous faisait d’hypocrites promesses pour nous faire accepter cette Europe (La chute du mur de Berlin en étant une récupération et mise en scène bien arrangeante).

Il n’est plus nécessaire d’être économiste, sociologue, spécialiste en géopolitique ou anthropologue pour comprendre que derrière cette Europe forcée se cache l’initiative d’intérêts multinationaux qui en avaient assez de lois différentes dans chaque pays, d’avantages sociaux trop avantageux à la force populaire qui bloquaient la libre circulation de leurs intérêts qu’ils voulaient toujours croissants.

Ses sociétés secrètes qui veulent un « nouvel ordre mondial » avec de nouvelles donnes à leur avantage sont allé un peu trop vite et fort dans leur appât du gain toujours vorace.
Ils n’ont pas tenu compte de l’instinct populaire qu’il pensait suffisamment endormi par une vie confortablement soporifique.
Seulement il est un seuil que l’être humain ne peut plus supporter. Ce seuil commence un peu à être atteint. L’exemple de la Grèce n’est qu’un début, si l’instinct révolutionnaire se réveille aussi fortement qu’il s’est manifesté un jour de 1789 à la Bastille.

Je n’ai jamais été révolutionnaire et encore moins communiste. Je vis dans le respect des traditions et des sacrifices de nos anciens grâce auxquels nous vivons encore bien. Seulement, le communisme étant l’expression d’un rêve, n’a jamais été autant plus nécessaire et justifié que maintenant. Il n’est valable qu’en temps de conflit ou de paupérisation d’une société et retrouve son aspect décalé lorsque celle-ci retrouve son confort et son aisance. En principe, en ces temps où tous nous sommes intéressés et impactés par cette crise socio-économique, nous devenons tous communistes.
Ne voient-on pas dans les rues, des manifestants de tous bords politiques qui s’expriment pour un intérêt commun plus équilibré ?
Pensez-vous que le peuple de Paris qui allait détruire la Bastille se préoccupait de savoir s’il était communiste ou un peu plus de droite ?

Il y a des déséquilibres qu’il ne faut pas provoquer ou laisser faire.
Lincoln avait déjà compris cela. Il disait face aux conflits des luttes des classes que l’on ne peut pas favoriser une par rapport à l’autre. Chacune est liée avec l’autre.
Les entreprises ont besoin de la classe ouvrière et réciproquement. Quand bien même, par l’effet d’une robotisation poussée à l’extrême, elle se passerait de main d’oeuvre, si le peuple n’a plus d’emploi donc de ressources, qui donc achètera leur production ? Les chinois dont le niveau de vie explose. ?
Il s’est accru sur la paupérisation de notre marché productif et prospère tant que nous continuons à acheter leur médiocre production peu coûteuse.
Mais lorsque la France sera assez pauvre, elle ne pourra même plus s’offrir les importations Chinoises qui connaîtront la même crise que nous connaissons actuellement. Ce n’est pas pour rien que la Chine investie en Europe ou en rachetant la dette Américaine. Cet état de fait confirme le but des ses intérêts mondiaux dont je vous parle et qui sont à l’origine de l’endettement mondial. Il l’ont forcé avec la complicité éclairée des nos dirigeants successifs. Maintenant ils nous tiennent au plus profond de notre dépendance (par la bourse pour ne pas dire les couilles !).

De Gaulle avait bien compris cette politique et face au plan Marshall ou l’ingérence des Américains notamment sur Chateauroux avait pris la décision d’y mettre rapidement un terme. C’est triste à dire mais Charles de Gaule aura été doublement le libérateur face à l’occupation Allemande renouvelant cet acte patriote face aux Américains évitant ainsi une autre occupation venant cette fois-là de l’ouest. Kennedy en avait conscience et ne portait pas notre grand Charles dans son coeur.

Pour faciliter leurs marché monétaire et commerce mondial, les initiateurs de ces grandes fortunes dont ne se partagent que quelques familles dans le monde et dont vous ne verrez jamais leurs enfants sur le front des guerres, ont ouvert nos lois et nos frontières, facilitant leurs affaires et redonnant la chance aux conflits dont ils se repaissent. Ne vendent-ils pas aussi des armes ?

Ces intérêts se sont rependus dans de grandes sociétés multinationales, pharmaceutiques comme dans l’armement. La paix ne les arrange pas lorsqu’elle s’éternise. Décidant par l’appui financier de partis politiques ou de politiciens en vue d’élections présidentielles dans tous les pays du monde, ils arrivent à influencer sur les lois, provoquant la destruction d’un confort de vie qui amène tôt ou tard au conflit.

Comme de toutes façons ils s’enrichissent de ces destructions en finançant les pays qui partent en guerre ainsi que dans la reconstruction de ceux-ci en temps de paix, ils ont tout intérêt dans ces processus.

Voyez la démarche secrète de la CIA à travers de la politique des pays à travers le globe. Elle s’immisce partout. Les Américains sont de plus en plus présents en Afrique, pourquoi ? Voyez ce que la Chine est en train d’y faire sur place, vous comprendrez.

La famille Bush dont le grand père avait dirigé une banque Américaine dont les intérêts existent encore plus de nos jours,  cette même banque avait financé le nazisme et la carrière du tout jeune parti d’Hitler déclenchant par la suite le plus grand conflit mondial que nous connaissons.
Voilà bien souvent la cause et la raison des troubles qui déclenchent les crises et les guerres dans l’histoire de l’humanité.
Ce sont rarement des conflits de villages, de cultures ou de religions.
Quand bien même, elles sont la couverture de cette pieuvre vénale et dont l’existence remonte bien loin dans le passé de notre pays comme dans celui des pays avec lesquels nous sommes entrés en guerre.

Je dois vous paraître bien parano ou décalé avec mon rôle d’artiste mais depuis que je suis père, je ne me suis jamais autant intéressé à l’avenir que vont connaître mes enfants. Ne rien faire pour leur éviter de connaître ce qu’on connu mes ancêtre serait lâche et inconscient. Il me serait insupportable qu’ils me demandent un jour pourquoi je n’ai rien fait pour les protéger de cela.

Alors je me suis intéressé à ce qui se passe autour de nous, à divers niveaux en m’instruisant dans de nombreux domaines et différentes sources. De nombreux spécialistes relatant du haut de leur savoir mes doutes naissants m’ont amené à cette douloureuse conscience.

Lorsque vous comprenez comment fonctionne le monde depuis son origine, le choc est violent mais les pieds que j’ai sur terre de ce fait me permettront de savoir où je vais et quel sera mon rôle pour défendre ce que j’ai de plus cher en ce bas monde, mes enfants.

Un homme averti se doit que le deuxième qu’il vaut soit celui qui ignore encore ce qui se passe.
Maintenant je peux me tromper et je le voudrais bien. Vivre au pays des Bisounours n’est plus dans mon optique.
Celui ou celle qui pourra me contredire justement en m’éclairant sur la cause de ce que nous vivons et qui n’en est qu’à ses débuts, sera le ou la bienvenu(e).

Faire de ce sentiment personnel une chanson n’est pas une chose facile. Elle aura au moins le mérite de matérialiser celui-ci et son expression sera je l’espère déclencheur de dialogue dans son entourage car l’humanité tire son excellence dans l’addition des ses valeurs.

Vous pourrez je l’espère, sans déclenchement de haine ni déversement de pensées contradictoires médiocres y mettre vos avis et lumières car je laisse la possibilité de vous exprimer sur cette page.
Que cela soit intelligent et constructif car dans de telles situations, nous avons tous le même intérêt.

Je tenais à terminer sur une citation de Paul Valéry qui résume finalement en une phrase tout ce que je viens d’écrire.
Bien à vous.

La guerre est faite par des gens qui ne se connaissent pas et qui se tuent, 
au profit de gens qui eux, se connaissent et ne se font jamais de mal. 
[Paul Valéry]
  

vendredi 12 avril 2013

Je ne pensais pas qu’il y ait pire chose que de perdre un être cher que l’on a vu chaque jour de sa vie à ses côtés.
Après découverte de la maladie d’Alzheimer et réflexion sur ce mal qui va prendre une ampleur considérable pour les générations qui vivent de plus en plus longtemps et dont nous faisons partie, j’ai pris conscience que de se trouver face à ce même être cher pour lequel on devient un étranger, outre le fardeau au quotidien d’un individu qui perd son autonomie, l’aspect destructeur du lien affectif qui nous tient à lui est une mort lente et insupportable.
Est-ce Dieu qui s'amuse à voir comment l'amour peut tenir ou nous changer face à de tels évènements?

Comment en faire une chanson ? J’aime les sujets lourds et j'apprécie le risque en la matière. Je me plais à tenter de les aborder avec des mots simples. L’écriture et la musique m’ont été d’un grand secours à certains moments de ma vie.
La poésie est un exutoire fabuleux et un lien affectif puissant entre ceux qui l’expriment et ceux qui la ressentent.
Cette même poésie étant l’expression timide de la souffrance, elle devient une clé pour ouvrir des portes closes en soi comme dans le coeur d’autrui.
N’aurions-nous pas fait un monde meilleur en envoyant des poètes à travers le monde plutôt que des soldats ?

Je me suis projeté dans cette réflexion et afin de ne pas tomber dans la gravité que cette situation impose. J’ai laissé ma plume et mon coeur s’exprimer en faisant la seule chose qu’il me semble possible de faire pour l'instant, mettre donc un peu de poésie là où les mots perdent toute leur importance.

Les médecins font avancer la recherche et les poètes (si l'on m'autorise ce titre car nous en sommes tous) tentent de faire passer la pilule en attendant le remède contre cette saloperie.
Je pense en tout cas même si je ne suis pas confronté à cette épreuve de la vie, à tous ceux qui n’ont d’autres choix que de s’y soumettre...
http://www.youtube.com/watch?v=E_pnSzSom8g



S'il y a des des moments qui comptent dans la vie d'un artiste, celui en est un pour moi. Cette chanson est un cadeau, tombé dans mon escarcelle en deux temps et trois mouvements sur ma guitare encore toute fraîche. Elle restera dans mon parcours d'artiste, j'en suis certain. J'espère qu'elle vous procurera l'intensité qu'elle m'a fait ressentir sur le moment mais comme je le dis, les chansons n'ont pas d'importance pour ceux qui les écrivent mais pour ceux qui les reçoivent et les aiment...

http://www.youtube.com/watch?v=7uHrkrdwdRk




Pas grand chose à dire car l'arrivée d'un enfant est ce que la vie nous apporte de meilleur. Il n'y a pas de mots pour transcrire de tels sentiments. Les chansons ont au moins le mérite de laisser venir les mots...
"Dors ma princesse", berceuse pour Maelle...

http://www.youtube.com/watch?v=r7WppfhToYo
Lorsque l'on passe sur la RN165 en arrivant à Lorient, juste avant la ZI de Kerpont sur le point culminant cet endroit, vous vous trouvez sur ce qui était le moulin du Toul Douar. Dans cette propriété familiale très ancienne (on y a trouvé des reste du passage de l'armée Napoléonienne) , vivaient Marguerite et Meven Loy, mes grands-parents que je n'ai pas connus. Meven était le Meunier du Toul Douar. On y venait de partout pour y faire moudre le grain, jusqu'au jour ou un décrèt est tombé, annonçant le passage de la route nationale et donc la fin de cette épopée familiale ainsi que de ce vieux moulin à roue. Une partie de cette propriété existe encore. Seul ceux qui l'on connue peuvent situer l'environnement actuel avec l'ancien. Je connais quelques bribes de cette époque, racontées par ma mère, Suzanne,  qui fut une des deux filles de la famille Loy. Cette connaissance d'un passé familial heureux que je n'ai pas connu à toujours existé en moi un peu comme un conte de fée. J'ai écrit cette chanson pour pour faire aboutir mon imaginaire dans lequel j'ai fait évolué ces grands-parents virtuels ainsi que pour ma soeur Christine qui a grandi dans cet environnement campagnard de la Bretagne ancienne et que je lui envie grandement. Les souvenirs de familles perdurent dans les coeurs et sur les photos mais je sais dorénavant que les chansons leur donnent ou redonnent vie. C'est avec beaucoup d'émotion que je vous présente "Le moulin du Toul Douar"...

http://www.youtube.com/watch?v=BkdWLbgxyoU
Cette voleuse aura au moins le mérite de ne pas me faire les poches. Pourvu que ça dure...
Nouvelle composition réalisée avec mon camarade Henri Gravier. "La voleuse de mes nuits".